Noria Kaouadji est née en 1996, à Strasbourg. Après un DNA obtenu à l’École Nationale Supérieure d’Art et de Design de Nancy, elle intègre l’École Nationale Supérieure de la photographie d’Arles dont elle sort diplômée en 2023.
Sa pratique plastique met en tension les espaces et les images dans une variété de formes qui explorent le hors-champ, l’abstraction et la matière. Elle invite le spectateur à entrer dans un espace d’exposition qui lui permettrait d’éprouver différents états de l’image et de systèmes de représentation de l’espace.
Ayant développé dans sa recherche un intérêt pour l’expérience vécue lors de fouilles archéologiques, elle fait de la coupe stratigraphique un objet de réflexion, un concept, mais aussi un dispositif de regard. Elle poursuit une expérience photographique au sein même de l’espace d’exposition en travaillant sur une mise en feuilletage de la fabrication des images, et des couches successives qui font acte de l’image.
Des systèmes de couches comme des déplacements entre surface et profondeur. Une invitation à l’oubli, à une projection puis une conceptualisation de notre propre espace. Ainsi, qu’il soit représenté ou non, l’être est toujours au centre de ses préoccupations plastiques ; il projette, construit et déconstruit des espaces fictifs et réels que Noria Kaouadji nous invite à explorer.
Sa pratique plastique met en tension les espaces et les images dans une variété de formes qui explorent le hors-champ, l’abstraction et la matière. Elle invite le spectateur à entrer dans un espace d’exposition qui lui permettrait d’éprouver différents états de l’image et de systèmes de représentation de l’espace.
Ayant développé dans sa recherche un intérêt pour l’expérience vécue lors de fouilles archéologiques, elle fait de la coupe stratigraphique un objet de réflexion, un concept, mais aussi un dispositif de regard. Elle poursuit une expérience photographique au sein même de l’espace d’exposition en travaillant sur une mise en feuilletage de la fabrication des images, et des couches successives qui font acte de l’image.
Des systèmes de couches comme des déplacements entre surface et profondeur. Une invitation à l’oubli, à une projection puis une conceptualisation de notre propre espace. Ainsi, qu’il soit représenté ou non, l’être est toujours au centre de ses préoccupations plastiques ; il projette, construit et déconstruit des espaces fictifs et réels que Noria Kaouadji nous invite à explorer.